Arte, énième vecteur de la propagande anti-française

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Sous couvert de traiter de la culture, la chaine se permet des largesses très partisanes. L’ojim (observatoire des journalistes et de l’information) publie une analyse du traitement de la campagne présidentielle opéré par la chaine de télévisions Arte. 

Le constat de l’Ojim est sévère mais peu étonnant

Oui, la chaîne divise les candidats en deux groupes : le camp du Bien, incarné par les candidats dits de gauche et le camp du Mal, incarné par les candidats dits de droite. Pour la gauche, la culture est une histoire de battement de cœur et de petite fleur fragile.

Mais au contraire, à droite, la culture n’existerait pas vraiment 

Comme le montre l’Ojim, Arte ne voit pas de culture à droite mais simplement du nationalisme et du capitalisme. Le journaliste est même très direct : « François Fillon et la culture c’est la conservation avant la création ».

Mais surtout, le reportage semble reprocher à Marine Le Pen de prôner la francophonie !

Voilà qui ne devrait pas faire plaisir à nos auditeurs. Le journaliste d’Arte résume comme un défaut : « La langue française à protéger coûte que coûte, voilà le message du FN. Finalement, à travers la protection de la langue française, Marine Le Pen fait de la grandeur de la France son obsession ».

Ce militantisme de la part de la chaine publique n’est d’ailleurs pas secret

Arte se revendique depuis 30 ans comme une chaîne de télévision culturelle libérale/libertaire et pro-européenne. Depuis 2012, Élisabeth Quin, formée à SOS racisme, y tient le haut du pavé pour les questions politiques, économiques et sociales. En 2016, le PDG du groupe voulait « une Europe de l’intégration et du métissage ».

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